Emilie : Bonjour à vous et merci d’avoir acceptez de répondre à notre web-interview
Auteur : Merci à toi ! C’est avec plaisir que je vais répondre à tes questions.
Emilie : Pouvez-vous vous décrire en quelques mots :
Auteur : J’ai 25 ans, j’habite dans le Pas-de-Calais. En plus d’être auteur, je travaille également en comptabilité (oui oui ça fait un grand écart entre les deux.)
Emilie : Comment vous est venu l’idée d’écrire ces romans ?
Auteur : Je suis devenue une dingue de lecture au collège. À partir de là, j’ai eu envie de coucher sur papier mes propres idées.
Emilie : Y a-t-il plusieurs tomes pour certains ?
Auteur : Oui, en fait, je n’ai pas encore publié de one shot. Ma première série « les cinq objets divins » se décline en 5 tomes. « Engrenage » et « Le Tournoi des immortels » sont des trilogies en cours de publication.
Emilie : Quels sont vos sources d’inspirations ?
Auteur : Elles sont assez diverses. Ça peut aller d’un lieu que j’ai visité, à une musique.
Emilie : Avez-vous un lieu de prédilection pour écrire ?
Auteur : En règle générale, j’écris dans mon bureau.
Emilie : Lorsque vous écrivez, est-ce que vous ressentez le besoin d’être soutenu par des proches ou animal de compagnie ?
Auteur : Alors pour le coup, quand je suis seule avec mon chien (un Golden retriever de 30 kilos), ce petit s’amuse à s’asseoir sur mes genoux (il oublie totalement que c’est un gros bébé)…. Du coup, c’est plus moi qui le soutiens mais bon, je n’échangerais sa présence pour rien au monde.
Plus sérieusement, oui, c’est important pour moi et de ce côté-là, je suis chanceuse.
Emilie : Pouvez-vous nous en dire plus sur chacun ?
Auteur : Ma maman est mon pilier. Elle est toujours là pour moi et me soutiendra tout le temps, je le sais. Elle est géniale, c’est la meilleure.
Emilie : Y a-t-il des sujets qui vous tiennent particulièrement à cœur ? Si oui, lesquels ?
Auteur : Oui ! En ce moment, celui qui me révolte, c’est la chasse. Grrrr ! Comment ce « loisir » peut-il encore exister ? Il y a d’autres sujets qui me tiennent à cœur et c’est pourquoi j’ai écrit Engrenage., une dystopie qui pointe du doigts les inégalités entre les pauvres et les riches.
Emilie : Quels genres littéraires aimez-vous lire ?
Auteur : Je ne suis pas difficile, même si j’ai des préférences. Mes choix se porteront plus facilement vers la SFFF (Science-Fiction, Fantasy, Fantastique) et la romance.
Emilie : Pourriez-vous écrire un livre sur un genre littéraire que vous n’aimez pas ?
Auteur : Non. L’écriture est avant tout une passion, un moyen de se faire plaisir.
Emilie : Avez-vous prévu d’être présent à des salons littéraires ? Si oui, où et quand ?
Auteur : J’en fais régulièrement depuis quelques années maintenant. Dans le Nord de la France, nous avons beaucoup de chance. En cherchant bien, presque toutes les semaines on trouve un salon du livre.
Les prochains sur ma liste sont ceux de Somain (30 novembre) et de Dunkerque (1er décembre).
Emilie : Avez-vous prévu des dédicaces hors saisons ? (Fnac, cultura…)
Auteur : Oui. La preuve, je vais au Cultura d’Hénin Beaumont le 8 décembre.
Emilie : Avez-vous des sites où l’on peut vous suivre ? (Facebook, Twitter, Instagram …)
Auteur : Bien sûr, les voici :
Facebook : Lucie Goudin – Auteur
Twitter : @luciegoudin
Instagram : @luciegoudin
Emilie : Décrivez-nous vos œuvres avec vos propres mots
Auteur : Dans chacun de mes livres, j’essaye de transmettre un message. Dans les cinq objets divins (heroic fantasy), je parle beaucoup du lien de camaraderie qui est en nous et qui est nécessaire dans certaines situations. Mis à part cela, c’est une aventure épique où humour, action et rebondissements se mêlent.
Pour le Tournoi des immortels (romance paranormale), j’aimerais faire comprendre que la guerre c’est moche, qu’il faut apprendre à voir au-delà de nos différences. Sinon, au fil des pages, vous rencontrerez des vampires pas très commodes.
En ce qui concerne Engrenage, c’est le livre le plus humain que j’ai pu faire. Mes personnages y sont fort différents et en même temps, ils ont le même sens du devoir que ceux de mes autres séries. Comme je l’ai dit précédemment, cette dystopie pointe du doigt les inégalités et les efforts répétés chaque jour par une tranche du peuple pour survivre, et non vivre.
Emilie : Dans quels contextes écrivez-vous ?
Auteur : En règle générale, j’écris avec un fond musical.