Emilie : Bonjour à vous et merci d’avoir acceptez de répondre à notre web-interview

Auteur : Bonjour, merci à vous de m’accueillir pour cette web-interview.

Emilie : Pouvez-vous vous décrire en quelques mots :

Auteur : Je m’appelle donc Gwen, je vis dans le Sud de la France, avec l’Homme, jolie princesse et petit homme. J’écris depuis toujours, mais depuis un peu plus de deux ans maintenant, j’ai la chance que mes romans soient édités.

Emilie : Comment vous est venu l’idée d’écrire ces romans ?

Auteur : L’idée n’est pas le problème. J’en ai presque trop pour vingt-quatre heures ! Le premier principe lorsque je me lance dans une histoire, c’est d’écrire les livres que j’aimerais lire.

Emilie : Quels sont vos sources d’inspirations ?

Auteur : Elles sont multiples et très simples. Une chanson, une situation, un dialogue. Tout est capable de m’inspirer, raison pour laquelle je me promène toujours avec bloc-notes et dictaphone.

Emilie : Avez-vous des auteurs préférés qui vous ont inspirés ?

Auteur : Je suis une dévoreuse de livres. Donc j’ai des auteurs références. Stendhal et Zola chez les classiques, Robert Ludlum et Tom Clancy pour l’espionnage, Maxime Chattam et Stephen King pour me faire peur. Je ne prétendrais pas qu’ils m’inspirent. Mais je suis fan de me retrouver en posture de lectrice inconditionnelle.

Emilie : Avez-vous un lieu de prédilection pour écrire ?

Auteur : En fait aucun. Je peux écrire partout, dans la file d’attente d’un magasin en tapant deux idées sur mon téléphone, à mon bureau, sur mon canapé, sur ma terrasse avec un bon café. Une idée, un clavier et hop !

Après je ne cache pas que je rêverais d’un petit nid d’écriture au cœur de la Toscane ou au plus profond des Highlands, voire en Bretagne avec vue sur les roches en granit et l’océan démonté.

Emilie : Lorsque vous écrivez, est-ce que vous ressentez le besoin d’être soutenu par des proches ou animal de compagnie ?

Auteur : je n’ai pas d’animal, ce qui règle la question. Mes proches savent que lorsque je suis devant mon clavier, casque sur les oreilles, je suis un peu imperméable. Mais ils me soutiennent comme des anges, hop une tasse de café apparaît, hop un biscuit, smack un bisou tout doux.

Emilie : Vous venez de sortir votre 4eme roman qui est une romance. Pourquoi écrire de la romance en particulier ?

Auteur : Chaque fois que je conçois une histoire, il y a une trame amoureuse. Parfois, comme dans Perfect Boss, mon second roman, elle est l’élément central. D’autres fois, comme dans Killer Love, elle complète une intrigue plus policière. Tout est question de dosage. J’aime écrire de la romance pour la liberté qu’elle propose. Une comédie, un drame, une polaromance, une romance historique, une fantasy, une dystopie, la liste est presque infinie.

Emilie : Avez-vous écrit d’autres choses que nos abonnés ne connaissent pas ?

Auteur : Mon ordinateur et mes classeurs regorgent d’autres histoires qui sont encore inconnus. Certaines resteront en l’état. D’autres seront peut-être remaniées. Pour le moment, je finalise l’écriture d’un nouveau projet, cinq autres sont en cours à des niveaux d’avancement divers. De quoi m’occuper pour les mois à venir !

Emilie : Y a-t-il des sujets qui vous tiennent particulièrement à cœur ? Si oui, lesquels ?

Auteur : Je ne pense pas forcément mes romans dans cette perspective, mais je me rends compte qu’il y a des thèmes récurrents qui reviennent. L’acceptation de soi, l’écart entre ce que les autres voient de nous et ce que nous sommes vraiment est l’une de mes constantes. J’aime aussi travailler sur la possibilité des secondes chances. Et puis je me rends compte que, d’une façon ou d’une autre, la famille a une place importante dans tous mes livres. Et ce n’est pas un hasard ; ma famille est l’un de mes piliers.

Emilie : Quels genres littéraires aimez-vous lire ?

Auteur : Je lis de tout. J’adore les polars à faire des nuits blanches, je dévore le fantastique, la fantasy, les dystopies. Je suis accro aux romans historiques (tout en étant souvent très pointilleuse à ce sujet). Bref, peu de thématiques me laissent vraiment de marbre.

Emilie : Pourriez-vous écrire un livre sur un genre littéraire que vous n’aimez pas ?

Auteur : Comme je l’ai dit, il y a peu de genres dans lesquels j’ai du mal à entrer. La dark romance peut-être. Je n’y suis pas à mon aise en tant que lectrices. J’aurais peur de « sonner faux » en écrivant dessus. Et puis il y a des auteures qui font ça tellement bien que je ne vois pas l’intérêt de m’y aventurer.

Emilie : Avez-vous prévu d’être présent à des salons littéraires ? Si oui, où et quand ?

Auteur : Je n’ai rien prévu exactement. Beaucoup de salons me tentent, mais faute de temps, pour raisons familiales ou parce que le Sud est un peu boudé ces temps-ci, j’ai peu de projets cette année.

Je passerai peut-être au salon du Livre de Paris en mars, en tant que lectrice et blogueuse.

J’aimerais être au Festival du Roman Féminin à Paris en avril.

Bruxelles me tente énormément (à négocier avec la famille). Pour le reste, les projets sont très flous.

Ah non, je serai, mais en tant que lectrice et blogueuse, aux veillées de l’Auditorium, le 7 février à la Magdelaine sur Tarn, un projet superbe qui va regrouper des auteures et amies. J’ai très très hâte.

Et en septembre, j’irai peut-être refaire un tour à Pusignan.

Emilie : Avez-vous prévu des dédicaces hors saisons ? (Fnac, cultura…)

Auteur : là encore, rien n’est arrêté pour le moment. Je suis plus adepte des rencontres impromptues café ou rencontre auteures/blogueuses/lectrices comme on en a vécues quelques unes par chez moi.

Emilie : Avez-vous des sites où l’on peut vous suivre ? (Facebook, Twitter, Instagram …)

Auteur : Oui, je suis une hyper connectée. Outre mon site qui regroupe mon blog et mes activités d’auteure https://melimelodegwen.fr, il y a ma page auteure sur Facebook https://www.facebook.com/GwenDelmasAuteur/ mon compte Twitter https://twitter.com/Melimelodegwen?lang=fr et mon compte Instagram https://www.instagram.com/gwendelmasauteure/

Emilie : Décrivez-nous vos œuvres avec vos propres mots

Auteur :  Le premier roman, Noël toi & moi, est une comédie de Noël qui part d’un pari un peu fou entre Héloïse, une jeune femme un peu trop rebelle pour sa famille rebelle et Alexandre, un Sudiste exilé à Paris. Tous deux doivent réussir l’impossible, à quelques jours de Noël : choisir le cadeau parfait pour quelqu’un à qui ils n’ont aucune envie de l’offrir. Et si chacun, à l’aveugle, choisissait le cadeau de l’autre ? L’occasion de se lancer dans une parenthèse sensuelle. Une histoire sans conséquences, … en tous cas sur le papier.

Le second, Perfect Boss, se passe dans le monde du journalisme sportif. Carla Dubie est une ancienne championne d’épée, au caractère bien trempé. Lorsque de nouveaux patrons prennent le contrôle de la chaîne où elle travaille, elle se trouve aux prises avec le charismatique Tom Andres, un condensé de séduction à l’état pur et Stephen Devreaux, un fantôme tout droit sorti de son passé. De sacrées tensions en perspective.

Le troisième, Killer love tire un peu plus vers la romance à suspense. Morsen Harton est l’homme de confiance d’un parrain marseillais. Il doit surveiller Alessia Salini, la veuve d’un ancien employé de son patron et s’assurer qu’elle ne représente aucun danger. Pour son patron ? Pour son équilibre ? Pour les sentiments qu’il garde toujours sous contrôle ? … Elle était sa proie, elle devient sa faiblesse.

Le quatrième et dernier en date, Sex Friends, pas de contraintes que du plaisir, retourne vers la comédie romantique. Aurore Farni est la jeune femme parfaite. Mais lorsque sa vie s’écroule, elle décide d’oublier un peu cette perfection pour s’autoriser à être ce qu’elle souhaite, quitte à faire des choix peu compatibles avec son quotidien. Mais quand le délire de vacances se transforme en autre chose, qui remportera la partie, des convenances ou des sentiments ?

Emilie : Dans quels contextes écrivez-vous ?

Auteur : Je n’ai pas de contexte particulier. J’aime écrire la nuit, lorsqu’il n’y a plus un bruit, à part la musique dont je ne me passe pas.

Emilie : Que pensez-vous des blogueurs/chroniqueurs … ?

Auteur : Question difficile puisque je cumule les deux casquettes ! J’aime beaucoup leur travail, leur dévouement à mettre en avant les livres qu’elles ont aimé. Certaines sont devenues de très proches amies et j’aime lire leurs chroniques soit avant de craquer sur un livre, soit pour confronter nos points de vue. Je les adore, …. Mon banquier un peu moins !

En tous cas je les remercie du soutien qu’elles m’apportent depuis le départ !

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