Emilie : Bonjour à vous et merci d’avoir accepté de répondre à notre web-interview

Auteur : Bonjour, merci de me l’avoir proposée.

Emilie : Pouvez-vous vous décrire en quelques mots :

Auteur : Eh bien, je m’appelle Anthony Lamacchia, je suis un auteur de 30 ans. J’ai commencé à m’auto-publier l’an dernier avec un petit thriller psychologique, l’inspiration des best-sellers, et j’ai continué cette année avec un roman jeunesse fantastique : Edward Sakedos l’apprenti nécromant.

Emilie : Comment vous est venue l’idée d’écrire ces romans ?

Auteur : Pour l’inspiration des best-sellers, la première idée qui m’est venue, c’est ce qui m’a servi de conclusion. Tout le travail a été d’écrire une intrigue pour mener à cette fin et d’aborder d’autres aspects qui y sont liés. Pour Edward Sakedos, c’était après avoir lu la quatrième de couverture de l’étrange vie de Nobody Owens de Neil Gaiman. Je n’ai lu le livre que plus tard, mais son synopsis m’a inspiré. En rentrant chez moi, j’ai eu l’idée d’un enfant qui jouait dans un cimetière et qui invoquait les morts. C’est comme ça qu’Edward est né.

Emilie : Y a-t-il plusieurs tomes pour certains ?

Auteur : Non. Peut-être que Edward aura une suite, mais pour l’instant, ce n’est pas prévu.

Emilie : Quels sont vos sources d’inspirations ?

Auteur : Elles sont multiples. Les livres, les films, la musique… Le fait divers, l’humain, le monde qui m’entoure. Je crois qu’un rien peut apporter une idée et après, elle grossit si on la travaille, si on y donne du sens, et si elle fait écho avec ce qui gravite autour de nous.

Emilie : Avez-vous un lieu de prédilection pour écrire ?

Auteur : Pas vraiment. Je pense que je peux écrire n’importe où du moment que je suis assis.

Emilie : Lorsque vous écrivez, est-ce que vous ressentez le besoin d’être soutenu par des proches ou animal de compagnie ?

Auteur : Absolument pas. Je dirais même qu’il faut être seul pour bien écrire.

Emilie : Vous avez écrit un roman jeunesse, pourquoi ce choix ?

Auteur : Ça s’y prêtait, je n’ai pas vraiment choisi. Vu les personnages, les thèmes, l’univers, ça s’est défini ainsi. J’ai même dû changer quelques passages pour que ça ne soit pas trop dur et pour ne pas choquer outre mesure.

Emilie : Y a-t-il des sujets qui vous tiennent particulièrement à cœur ? Si oui, lesquels ?

Auteur : Disons que j’ai des redondances. L’artiste maudit, l’anti-héros, la folie, la vengeance, les affres de l’enfance, le dépassement de soi, l’amour impossible, la fatalité, l’utilité ou l’inutilité de l’art…

Emilie : Quels genres littéraires aimez-vous lire ?

Auteur : Pas très original, j’aime les genres que j’écris, même si je suis incapable d’écrire à la manière de quelqu’un : les thrillers, le fantastique, la fantasy, la science-fiction…

Emilie : Pourriez-vous écrire un livre sur un genre littéraire que vous n’aimez pas ?

Auteur : Je ne pense pas. Pour moi, on écrit bien quand on écrit ce qu’on aime et si je n’aime pas le genre… eh bien ça risque d’être difficile.

Emilie : Avez-vous prévu d’être présent à des salons littéraires ? Si oui, où et quand ?

Auteur : Je serais présent au salon des auteurs indépendants de Marseille le 27 octobre 2019. Je commence à démarcher pour 2020. Je serais aussi présent au Salon de Ceyreste fin novembre.

Emilie : Avez-vous prévu des dédicaces hors saisons ? (Fnac, cultura…)

Auteur : Oui. Je serai à l’espace Culturel Leclerc de Hyères (83) le samedi 19 octobre 2019.

Emilie : Avez-vous des sites où l’on peut vous suivre ? (Facebook, Twitter, Instagram …)

Auteur : Sur Facebook et Instagram en tapant « Anthony Lamacchia Auteur » vous devriez me trouver.

Emilie : Décrivez-nous vos œuvres avec vos propres mots

Auteur :  L’inspiration des best-seller est un roman court mais efficace. Je voulais que ça soit un roman qui se lit vite, sans fioriture, qui ait un effet coup de poing. D’où la fin.

Pour Edward Sakedos l’apprenti nécromant, c’est un roman qui s’adresse à ceux qui veulent voir une vision différente de la mort, ce qu’elle signifie, pour les enfants mais aussi pour les adultes. Et puis c’est aussi une histoire d’aventure, de suspens.

Emilie : Dans quels contextes écrivez-vous ?

Auteur : Je n’ai pas vraiment besoin d’un contexte. Je n’écris pas du tout de feel-good, pourtant j’ai besoin d’être bien pour écrire. Si je suis contrarié, je ne fais pas du bon travail.

Merci ^^

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