Auteur : Frédéric Mirabel-Chambaud

Genre littéraire : Dystopie

Auto édition

Date de sortie : 6 juillet 2021

Prix : 13,90 €

Pages : 213

Résumé : Dans un futur proche, l’humanité a trouvé la solution pour éradiquer guerres, famines et pandémies. Vivre sans les problèmes de pauvreté et en harmonie avec la nature serait merveilleux si des groupuscules violents ne venaient perturber ce bien-être quotidien jamais encore atteint à ce jour.

Jade, Allan et Timéo travaillent pour le Cinéma Intégral. Ils sont chargés de collecter et d’archiver les images du passé auxquelles une nouvelle technologie permet d’accéder. Quelle n’est pas leur stupéfaction lorsqu’ils découvrent que LE dossier à même de répondre à l’une des interrogations majeures qui sous-tendent les philosophies de vie de l’humanité depuis des millénaires a été volé.

Dans une quête haletante, ils nous entraînent à sa recherche depuis les nouveaux centres urbains jusqu’à une cité interdite au sein d’une nature réinventée.

Critique : je n’ai pas été emballé ni convaincu par cette lecture technique mais aussi trop ressemblante à des précédentes lectures de récits dystopiques.

M’intéressant beaucoup au genre de la dystopie, j’ai eu l’occasion à de très nombreuses reprises de lire des histoires similaires à celle-ci, se passant au XXIIe siècle avec la destination particulièrement et la transformation aussi complète de notre monde. Notre société va être centré sur la présence constante de la technologie et des données informatiques.

L’omniprésence de l’informatique et de la technologie mis en avant précédemment par l’Homme est l’un des sujets centraux du roman. Les éléments technologiques que l’on va retrouver vont être présenté par l’auteur mais c’est tout au long de notre lecture que l’on va vraiment comprendre sa place et son importance.

La personnalité de notre personnage va être transparente avec celle de notre auteur, comme une forme d’autobiographie. Ses interactions et ses questions vont complètement se comprendre et être partagés avec le lecteur au point parfois d’être totalement embrouillé et submergé par toutes ses questions et interrogations.

On va être confronté à une véritable quête de réponses qui vont amener Tim et son ami Allan à des rencontres importantes et improbables. Il faut dire que malgré des tempéraments et caractères très différents, leurs agressions presque identiques vont les mener au-delà du pensable.

Ce court roman d’environ 230 pages va s’adresser tout d’abord à un lectorat adulte dû à l’âge des protagonistes et à la présence de l’informatique et de la technologie, mais surtout pour un lectorat inconnu et curieux du genre littéraire présenté.

Pour moi qui suis une lectrice habitué et « expérimenté » dans le genre de la dystopie, ce roman est certes cohérent et réaliste mais bien trop similaire et répétitif avec des précédentes lectures dans ce domaine. Ce n’est absolument pas contre l’auteur qui a transmis de nombreux messages de sensibilisation et de réflexions mais qui reste néanmoins redondant dans le genre littéraire évoqué.

Points positifs : textes courts ; présence d’actions

Points négatifs : redondance de thématique trop fréquentes dans le genre littéraire présente ; difficulté de compréhension de réflexion dans la seconde partie du roman

Note : 6/10

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