
Emilie : Bonjour à vous et merci d’avoir acceptez de répondre à notre web-interview
Auteur : Bonjour Émilie et merci à vous : )
Emilie : Présentez-vous-en quelques mots (Biographie) :
Auteur : Gaya Tameron, auteure de récits appartenant à la littérature de l’imaginaire et ses sous-genres. J’aime me lancer des défis afin de repousser mes limites. Selon ceux qui me connaissent, je suis surtout une travailleuse acharnée, doublée d’une infatigable rêveuse.
Emilie : Quels sont vos sources d’inspirations ?
Auteur : Mes rêves viennent en premier, ensuite, je dirais qu’il n’y a pas de règle. Il suffit d’un nom sur une boîte aux lettres, d’une mélodie ou d’un paysage pour que des scènes s’ enchaînent dans ma tête. En fait, tout peut m’inspirer, c’est pourquoi j’ai toujours de quoi écrire avec moi. C’est une précaution indispensable !
Emilie : Avez-vous des auteurs préférés qui vous ont inspirés ?
Auteur : Bien sûr et ils sont nombreux : Jules Vernes et Émile Zola pour commencer. Mais aussi Dan Brown, Tsugumi Ohba, Tagaya Kagami et J.K.Rowling.
Emilie : Avez-vous un lieu de prédilection pour écrire ?
Auteur : Tout dépend du support sur lequel j’écris : sur ordinateur, j’ai mon bureau qui me permet de pouvoir étaler toutes mes notes. Le papier me permet, au contraire, de sortir dans mon jardin, d’écrire dans la voiture ou même devant la télévision.
Emilie : Comment vous est venu l’écriture de « L’œil du diable » ?
Auteur : Tout a commencé par un appel à textes sur Halloween. La nuit suivante, j’ai rêvé de la scène du début de mon tome 1 : Delclaive, dans une boîte de nuit, en train de chasser avec son appareil photos. Dès mon réveil, j’ai noté mes impressions et les détails qui m’avaient marqués. J’ignorais alors que cette histoire deviendrait une trilogie.
Emilie : Lorsque vous écrivez, est-ce que vous ressentez le besoin d’être soutenu par des proches ou animaux de compagnie ?
Auteur : Non, mais c’est un plus, il faut bien l’avouer. Je doute encore très souvent et mes proches savent comment me remotiver. Quant à Garros, mon cocker, il n’a pas son pareil pour me remonter le moral ou me changer les idées, au besoin.
Emilie : Avez-vous écrit d’autres choses que nos abonnés ne connaissent pas ?
Auteur : Oui. J’ai commencé avec quelques nouvelles :
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« Une semaine à Lacanau », qui mêle fantastique, romance et écologie,
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« L’apprenti oiseau », qui traité de l’importance de suivre ses rêves, peu importe les obstacles.
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« La guerre des génies » et « Noël pour tous », deux contes tout public.
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« À la vie, à la mort », sur la difficile question du deuil.
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« L’Amour en noir », une romance lesbienne qui traite des violences faites aux femmes et de la difficile reconstruction qui en découle
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et enfin « Le Royaume des Ombrifers », un récit en fantasy et qui vient juste de sortir.
Emilie : Y a-t-il des sujets qui vous tiennent particulièrement à cœur ? Si oui, lesquels ?
Auteur : Tout à fait. La sauvegarde de la nature et le respect des différences font partie des thèmes récurrents dans mes romans ou mes nouvelles. Dans notre société moderne au sein de laquelle les goûts sont trop souvent formatés, il me semble essentiel de ne pas oublier que derrière chaque action, il y a une décision. Comme les récents événements l’ont prouvé : si nous agissons de concert, rien n’est impossible !
Emilie : Quels genres littéraires aimez-vous lire ?
Auteur : Littérature de l’imaginaire, policier, manga, bd, pièces de théâtre et textes classiques, histoire, philosophie. J’aime la diversité.
Emilie : Combien de temps consacrez-vous à l’écriture ?
Auteur : J’essaie d’écrire environ quatre heures par jour, cinq jours sur sept. C’est un rythme qui me convient bien jusqu’à présent.
Emilie : Pourriez-vous écrire un livre sur un genre littéraire que vous n’aimez pas ?
Auteur : Je ne le crois pas. Avant de pouvoir m’atteler à un nouveau genre, j’ai besoin de lire plusieurs ouvrages s’ y rapportant. Cela me permet d’en saisir les codes et les limites. En outre,si le genre ne m’intéresse pas, je ne me vois pas l’étudier ainsi.
Emilie : Avez-vous prévu d’être présent à des salons littéraires ? Si oui, où et quand ?
Auteur : J’en avais plusieurs qui ont tous été annulés. Comme la fin d’année reste encore incertaine, je conseille aux personnes qui souhaiteraient me rencontrer de s’abonner à ma page auteure sur Facebook gaya.tameron.
Emilie : Avez-vous prévu des dédicaces hors saisons ? (Fnac, cultura…)
Auteur : Non, pour la même raison.
Emilie : Avez-vous des sites où l’on peut vous suivre ? (Facebook, Twitter, Instagram …)
Auteur : Facebook : https://www.facebook.com/gaya.tameron/
Instagram : https://www.instagram.com/gayatameron/
Twitter : https://www.twitter.com/gaya_tameron
Emilie : Décrivez-nous vos œuvres avec vos propres mots
Auteur : Je dirais qu’elles sont toutes une partie de moi, au sens où les thèmes abordés sont importants, à mes yeux. Pêle-mêle, je pourrais citer : l’importance de se battre pour ses idées ou pour réaliser ses rêves, la sauvegarde de la nature, le droit à la différence, l’Amour sans discrimination ou encore la mort.
Emilie : Dans quels contextes écrivez-vous ?
Auteur : J’ai mis en place une routine : deux heures le matin et deux heures l’après-midi.
Emilie : Que pensez-vous des blogueurs/chroniqueurs/critiques littéraires … ?
Auteur : Tout ceux que j’ai rencontré en salon ou sur la toile se sont montrés bienveillants et passionnés. C’est toujours un plaisir de répondre à leurs question et de discuter avec eux.