Émimordue: Bonjour et merci d’accepter de répondre à mes questions

Léna: Bonjour et merci à toi de m’accueillir sur le blog!

Émimordue: Présente-toi à nous sous forme de biographie.

Léna: Née en 1978 à Grenoble, j’ai eu pendant plusieurs années la bougeotte. Après quelques aller-retour entre Bordeaux et la Martinique, j’ai décidé de déposer définitivement mes valises dans le sud-ouest de la France. Très grande passionnée des lectures de l’imaginaire depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours rêvé d’écrire. En 2013 j’ai décidé de me jeter enfin à l’eau. Ce sera la naissance de ma première Saga : Les Oubliés. Elle sera rapidement suivie d’une deuxième : Blood Witch. Avec les pieds sur terre et la tête dans les nuages, mon imagination toujours en ébullition me met à rude épreuve, mes doigts brûlent de nouvelles histoires à coucher sur mon clavier et j’aimerais disposer de journée de 53H28 exactement afin de pouvoir me consacrer à toutes sans exceptions.

Émimordue: Quelles sont tes sources d’inspirations ?

Léna: Tout… rien… la vie en elle-même. Une discussion, les informations, quelque chose que je vois dans la rue… tout est susceptible d’allumer une lumière quelque part au fin fond de mon cerveau… et si je laisse cette lumière allumée, elle finit par grandir sur mon clavier.

Émimordue: En combien de temps as-tu écrit la série Les oubliés ?

Léna: Le premier tome a été très rapide à écrire. Je ne travaillais pas, du coup je me consacrais à l’écriture à plein temps. Il m’aura fallu 4 mois pour arriver au point final. Malheureusement, à l’heure actuelle, je ne vis pas de l’écriture. J’ai écrit le second tome en parallèle de mon travail et il a été terminé en 1 an.

Émimordue: Comment l’idée t’est-elle venue ?

Léna: Alors, c’est très simple. Je venais de vivre une grosse déception en tant que lectrice. Je venais de terminer le dernier tome d’une saga dystopique très connue et j’avais détesté la fin. Il faut également savoir que l’écriture m’a toujours attirée. J’ai toujours eu une imagination… comment dire… débordante, et depuis longtemps je me disais qu’il faudrait qu’un jour je me lance. Cette déception a été le déclic. Je me suis dit à ce moment là qu’il était temps pour moi d’écrire le roman que j’avais envie de lire. Après ça, ça a été très rapide. Je faisais la grasse matinée un samedi matin et en quelques minutes la trame des deux tomes m’est tombée dessus. Lorsque je me suis levée, j’ai annoncé à mon mari que je me lançais dans l’écriture d’un roman.

Émimordue: Quels sont tes genres littéraires préférées ? Sont-ils similaires au style de roman que tu écris ?

Léna: Je lis principalement de la dystopie et de l’urban fantasy. Donc oui, effectivement, je lis les genres que j’écris. Il me semble important de connaître et de maitriser les codes des genres pour être à l’aise dans son écriture, et surtout je ne me verrais absolument pas écrire un genre que je ne lis pas.

Émimordue: Pourquoi avoir choisi que l’histoire se passe en France ?

Léna: La majorité des nouvelles dystopies, celles à destination des ados et des jeunes adultes se passent aux Etats Unis. Je suis française, j’écris pour un public français, je voulais que les lecteurs puissent se représenter des lieux, se sentir proche des personnages et se dire que ça pourrait être eux.

Émimordue: Quel est ton roman préféré ?

Léna: Alors ça, c’est très compliqué. Un des mes romans favoris est Le Petit Prince, d’Antoine de St Exupéry. Après je suis fan de Zola pour son côté lutte des classes, et plus proche de nous, Harry Potter restera à jamais dans mon cœur. Mais je n’ai pas de livre doudou. J’aime lire, je ne passe pas une journée sans lire, c’est surtout ça que je préfère.

Émimordue: Par quoi commences-tu : les personnages puis l’histoire ou l’inverse ?

Léna: Ni l’un, ni l’autre lol. Je commence par l’univers dans lequel va évoluer mes personnages. Ensuite, je crée mes personnages principaux. Leur histoire passée, leur caractère, leur caractéristique physique. Seulement après je crée mon histoire. Pour crée mon histoire il faut que je sache, pourquoi, où, qui et quand.

Émimordue: Participera-tu à des salons ou festivals littéraires ? Si oui lesquels ?

Léna: Mon prochain salon est le 7 avril à Chaptelat. J’en aurai d’autres sur le second semestre, mais je ne pas en dire plus pour le moment.

Émimordue: Que penses-tu des blogueurs(ses), chroniqueurs(ses) … ?

Léna: Je pense que les blogueurs, chroniqueurs, sont des gens passionnés et qui ont envie de partager cette passion avec les autres. Ils font aujourd’hui partie intégrante du cycle d’un livre car ils peuvent être suivi pour certains par des milliers de personnes et leurs avis sont parfois tout aussi importants pour un auteur pour un livre que n’importe quel autre critique littéraire. Je ne les remercierai jamais assez de s’intéresser à tous les auteurs quel qu’ils soient petits, gros, édités, auto publiés, car c’est en partie grâce à eux que les petites maisons d’édition arrive à se faire connaître.

Émimordue: Sur quels réseaux pouvons-nous te suivre ?

Léna:

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Émimordue: Parle nous des autres séries ou romans que tu as écrits? Ou sont-ils disponibles ?

Léna : Le 2 avril sort l’intégrale de ma saga d’uban Fantasy : Blood Witch.

Voici la quatrième de couverture :

Ah merde !

Encore un !

Bon alors ? Oui, c’est à toi que je parle, là ! Tu crois vraiment avoir les reins suffisamment solides pour découvrir mon histoire ? J’en suis pas si sûre, moi !

Si je te dis que je suis une sorcière dans un monde timbré avec des vampires et des loups-garous entre autres choses, toujours partant ?

Bien ! Comme tu voudras.

Alors vas-y, prends-le ce bouquin, installe-toi confortablement et surtout, amène-moi un verre de tequila.

Dans Blood Witch on plonge dans un univers totalement différent de celui des Oubliés. Erika est déjà plus âgée que Eléa, mais elle est aussi plus folle… carrément plus folle. Elle va découvrir à l’aube de son 22ème anniversaire qu’elle est issue d’une longue lignée de sorcière et qu’il lui incombe de sauver son clan mais aussi le monde surnaturel d’un maitre vampire encore plus taré qu’elle. Il faut également savoir que Erika a un peu tendance à faire l’autruche quand quelque chose ne lui plait pas, et qu’elle a un humour qui décoiffe (non, je ne dirai pas que son humour est pourri… elle a un humour… particulier). Je me suis régalée à écrire Blood Witch. J’ai beaucoup ri en écrivant certaines scènes. J’écris de la dystopie dans l’espoir de faire prendre conscience de certaines choses aux nouvelles générations (mais pas qu’à eux…) et j’écris de l’urban fantasy pour m’amuser… et là, je me suis vraiment éclatée.

Émimordue: Un petit mot pour la fin ?

Léna : Merci beaucoup de m’avoir accueilli ici. N’hésitez pas à aller découvrir les Oubliés mais également le petit nouveau : Blood Witch, et surtout… n’hésitez pas à venir me voir ensuite sur les réseaux sociaux pour me dire ce que vous en avez pensé. Vos avis sont pour moi à chaque fois un véritable booster et de grandes émotions. J’écris en partie pour moi, mais c’est avant tout pour tous ces échanges que je suis ravie d’être publiée. Gros bisous à tous et… bien entendu… bonne lecture !

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